Fragments de lucidité

Jean-Louis Servan-Schreiber

ESSAIS

En librairie le 11 mai 2016

Fayard
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Sommaire

Où la situation semble désespérée
Où l’on se demande si la lucidité n’est pas un syndrome
Où l’on a les moyens de voir les choses comme elles sont
Où l’on réalise qu’on ne sait rien
Où l’on mesure la fugacité de toute vie
Où l’on ne trouve pas trace de transcendance
Où il est rare d’atteindre l’autre
Où l’on m’oubliera vite
Où l’on préfère se divertir plutôt que de vivre
Où l’on peut ruser avec son déclin
Où mon équilibre affectif dépend trop des autres
Où je rencontre une tendance à l’indifférence
Où l’on se demande à quoi sert d’écrire
Où la connaissance est un tonneau sans fond
Où l’on ne peut s’appuyer sur rien de ferme
Où tout est mis en équivalence
Où l’on oublie trop vite d’où l’on vient
Où chacun peut se faire philosophe
Où cohabitent en nous un penseur et un animal
Où nous menons trois parcours simultanés de vie
Où l’on se pose la question à une balle
Où l’on se méfie du bonheur
Où la modernité fatigue
Où l’on constate les dommages de la perfection
Où l’on ne peut voir les choses que de son point de vue
Où l’on apprend à manier l’illusion lucide
Où la fragmentation de tous les systèmes accroît nos solitudes Où l’on s’attache aux objets, d’autant qu’ils nous parlent
Où l’on va de la singularité à la banalite
Où la morale se calcule en euros
Où se croire lucide manque de lucidite

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